Départ de Dunkerque vers le 15 novembre, la date semble assez fluctuante selon les calendriers publiés par la compagnie Weir Lines sur son site. Escale au Havre le lendemain, avant l’Atlantique.
Environ 15 jours de mer, passage (sans escale) du Canal de Panama, encore quinze jours de mer dans le Pacifique et arrivée à Papeete (Tahiti) vers la mi-décembre. Deux ou trois jours d’arrêt.
Iles Fidji. A une semaine de Tahiti, escales pendant une petite semaine dans trois ports de ces îles : Savusavu, Suva, Lautoka.
Puis la Nouvelle-Zélande, Auckland pendant trois jours, et la Nouvelle-Calédonie, Nouméa quatre ou cinq jours. Cela nous amène à la mi-janvier où les quinze jours qui restent dans ce mois sont consacrés au cabotage dans diverses îles : Vanuatu (Port-Vila et Santo), Salomon (Honiara), Papouasie-Nouvelle Guinée (Rabaul, Kimbé, Lae, Madang).
Début février en Malaisie (Miri, Bintulu) puis Singapour quelques jours et fin du mois encore en Malaisie (Port Kelang) où je suppose que le bateau fait le plein de tout ce qui lui est nécessaire car il n’y aura plus d’arrêt avant le retour en Europe via le Canal de Suez. Compter un mois avant l’arrivée à Hambourg à la fin mars.
A part le départ et l’arrivée, ce trajet ne passe par aucun de ces grands ports de marchandises que proposent les autres lignes de cargo, genre Hong-Kong ou Yokohama, immenses dépôts de containers à perte de vue, mais des petits ports aux noms inconnus. Je ne me fais pas d’illusions, le temps n’est plus aux rivages enchanteurs et aux paisibles petites baies abritées, un port de marchandises reste ce qu’il est, petit ou grand, dominé par les engins de levage et le souci de productivité. Mais les chances demeurent quand même plus grandes de voir un peu des rivages approchés.
lundi 29 septembre 2008
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